Mon Tour Est Venu

Je me retire tout en la surveillant, sa respiration est saccadée mais ses yeux sont toujours clos. Elle remonte ses mains sur sa poitrine,effleure ses tétons durs comme des petites gommes et s’arrêtent a sa gorge. Elle met sa tête sur le cote, referme doucement les genoux et se replie en chien de fusil. CHIOTTE! quelles fesses! Je me penche et pose ma main sur sa hanche,elle est douce. Je la pousse délicatement sur le ventre. La, je voies enfin toute la plénitude de son arrière train, encore luisant du miel de sa jouissance… Je lui écarte les jambes de chaque cote du lit, la tache de sa liqueur s’étale sur le drap. La lueur des étoiles fait briller le minou, la vallée des rondeurs de ma mère. Jamais je l’ai autant aime. Je me rends compte que je suis fou d’elle, de son corps! Je dois tout explorer, tout tenter, profiter de la moindre parcelle de son être ; la forcer a m’aimer de toutes les façons que ce soit! Recevoir l’amour qui m’est du. Comme c’est sa seule façon de le donner, ce sera pour moi la seule façon de le prendre. « Ce matin maman, tu est toute a moi »

Je me relève, ouvre la porte et retourne dans la salle de bain. J’allume les spots du lavabo et prends l’étui a lunette qui renferme la vaseline et l’huile de massage. Je ramasse une serviette avant de me regarder dans la glace. Un sourire se dessine sur mes lèvres. C’est drôle, même en sachant que c’est ma mère qui est allongée au fond du couloir, que je l’ai pénètre, que j’ai mis ma langue dans son vagin, la ou je suis venu au monde, Je ne sans aucune honte. En fait mon amour pour elle a change. C’est les sentiments d’un homme pour une femme qui m’envahissent. Cela dit mon désir de vengeance est encore intacte et mon désir noue mon ventre. J’y vais, elle m’attend, Je doit finir ce que j’ai commencer. Il me reste 2 heures pour assouvir mes phantasmes.

Je la retrouve toujours endormie dans la même position, sur le ventre les jambes écartées. Je referme la porte derrière moi et me dirige vers le lit. Dans cette position maman me fait penser a une pâtisserie que j’ai envie de déguster sur le champs. Sentiment de tendresse. Je passe ma main dans ses cheveux châtains, lui caresse la joue, mon doigt effleure sa bouche. Elle ne bouge pas, sa respiration est calme. On va changer ça! Je fait le tour du lit, pose le flacon d’huile et le tube de vaseline sur le drap. Je lui tire doucement les chevilles vers le bas du lit, elle glisse, ses bras s’étalent devant elle. Maintenant ses genoux sont sur la moquette ; Je prends l’oreiller et le place en douceur sous son ventre, j’écarte ses jambes. L’effet est saisissant! Ca fait remonter ses fesses et ressortir son abricot. J’écarte ses collines soyeuses pour apercevoir le petit oeillet de ma chère mère, mon doigt en fait le tour ; il se contracte puis se redetend doucement. J’approche ma tête et je le touche de mes lèvres. Il se resserre, ma langue joue avec ses plis et s’approche du centre. Les globes de ma maman se durcissent. Je les empoigne a pleines mains et les malaxe avec frénésie, je sens mon instrument taper contre mon ventre pendant que ma langue essaie de forcer son anus ; odeur musquée, je savoure tout. En relevant la tête, je remarque que sa respiration est plus rapide! Je replonge la tête, une de mes mains tient ses fesses ouvertes, l’autre cherche a tâtons le tube de lubrifiant. J’en extrait une noix de gel et l’étale avec des mouvements circulaires sur son orifice mystérieux. Il bat a l’unisson avec la respiration de ma mère. Mon index plonge et s’enfonce jusqu’au bout.Plus haut un petit cri. Quel onctuosité! J’ai l’impression d’avoir le doigt dans un chou a la crème! Son canal se contracte dans un spasme, mon vit aussi. Sa chaleur intérieure irradie. « mhhh…! Maman a l’air d’apprécier,elle cambre son derrière, son anus s’ouvre. Je retire mon doigt,me redresse et lui prends les hanches. Mon sexe est pile poil en face de son étoile. Je lui pose une main sur le bas du dos pour accentuer sa cambrure. Elle est ouverte offerte, ses 2 fesses s’écartent encore plus l’une de l’autre. Un gémissement sort de la gorge de ma mère. Je prends cela pour une invitation et je pousse mon gland au centre de l’œillet. Il se contracte pendant une seconde puis se relâche. J’en profite pour appuyer doucement mais fermement. Avec le gel la tête est passee. Je l’entends expulser tout l’air de ces poumons dans une plainte. Incroyable! Elle est vierge de ce cote, Cette fiotte de richard ne lui a pas tout fait?! Je stoppe et observe ses moindres réactions. Son corps ondule, son étoile tente de m’expulser mais ses yeux restent clos. Hors de question que j’abandonne maintenant! J’augmente la pression a la seconde ou il se détend et d’un coup tout rentre,jusqu'à la base.

Elle crie! Mes bourses tapent sur sa fente. Jamais je n’est été aussi dur.Je contracte mon penis par à-coups a l’intérieur de son anus. Il me répond sur le même rythme. Enfin je me décide a bouger, je prends de l’amplitude a mesure que je lui extirpe des sons sortis tout droit de sa bouche grande ouverte. Elle a mal je le sens mais je m’aperçois qu’elle aime ça a sa façon d’onduler son postérieur a la rencontre mon étendard! Elle n’est plus que grimace de douleur et frémissement de plaisir.Je ne me retiens plus et je me mets a m’enfoncer de plus en plus profond en elle. Ses 2 masses de chair me font rebondir mais je repart de plus belle! Je la perfore avec une telle violence que nous remontons sur le lit. Maintenant qu’elle est totalement a plat ventre je repositionne un de mes mains prés de sa tête penchée, devant sa bouche pendant que l’autre explore son bas ventre a la recherche de son clito. La, je le tiens entre mon index et mon majeur. Je le triture, ses fesses remontent, je les repoussent avec mon vit. sa bouche touche ma main et s’y colle comme pour étouffer ses petits cris de souris. Je la sens qui monte, ses petits jappements se font de plus rapides et aigus. Sa peau se couvrent de frissons, elle remue de plus en plus fort.

Soudain un feulement de louve sort de ses poumons! je n’en peux davantage, je me laisse aller, je m’enfonce le plus profond possible et j’explose dans un dernier coup de reins! Je pousse un grognement de bête qui résonne dans toute la pièce et je m’affale sur elle. Son dos est moite, sa sueur est un nectar pour moi,je lui lèche le cou et soulève mes reins pour sortir mon sexe dans ses fesses, « PLOP! » Je m’agenouille, mon arrière train pose sur ses cuisses voluptueuses. J’observe son visage complètement défait. Sous ses yeux des petites cernes apparaissent, petites traces d’amour. C’est magnifique, je n’ai jamais connu ça! une telle fougue, un tel entrain! Je reprends ma respiration.Ses yeux sont toujours clos mais un sourire eclaire son visage. Sa bouche est toujours ouverte et humide. Je repasse une main dans ses cheveux et glisse mon doigt plein de ses senteurs dans sa bouche. « MON DIEU!!! Elle se met a le sucer! Je le retire doucement et me déplace vers sa tête. J’ai une nouvelle érection. Je promène mon gland sur ses lèvres et le glisse dans sa bouche. Même réaction que pour le doigt. Je bouge lentement mes hanches, elle fait un rond parfait autour de ma hampe. C’est trop! Voir mon sexe entre et sortir,elle consentante, les yeux toujours fermes … Je me retire lentement pour ne pas l’étouffer de ma semence et je gicle mes dernières munitions sur son dos! « ARGH!! ». Je me sens faible mais apaise, courbatu mais heureux. Je regarde l’heure, il ne reste plus qu’une demi heure avant que les effets disparaissent.

Je prend la serviette et commence a lui essuyer le dos délicatement,ses reins pour finir entre ses fesses. Nos sécrétions conjugues s’étalent sur tout le bas de son corps et imprègne le drap. Je me lève, cours sans bruit dans la salle de bain. Un nouveau drap et un gant humide, je reviens fissa dans sa chambre pour réparer les dégâts et toute trace de mon passage. Cela me prend un quart d’heure. Quand je referme la porte tout est clean et ça sent bon la lotion. Encore plus propre qu’a mon arrivée! Une fois dans ma chambre, je jette toutes les affaires souillées dans mon sac de sport car je les lave tout seul a la machine… Je plonge sur mon lit avec un soupir de satisfaction et je fixe le plafond.

Je suis complètement décontracte, il fait jour maintenant et je me met a réfléchir sur ce qui vient de se passer. Je remarque que je n’ai plus une once de haine envers elle, j’ai été même attendris par les expressions de son visage! Mais quelle bombe atomique! je ne savait pas que ma mère est aussi volcanique au lit … Ses voluptueuses fesses ont satisfait toutes mes envies, je me suis introduit dans toutes ses fentes, tous ses trous! Je parie que sa chiotte du X n’a pas eu tout ça. Moi je suis sur d’être le premier a m’être introduit entre ses plantureuses fesses, dans son passage secret! A partir de maintenant a chaque fois qu’elle sera désagréable avec moi...